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Deeat Palace

The Golden Coasters

Instabilités

De Haut en bas…

Anatomia

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Stéréo Vulcani

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Proscænium

les chroniques du festival

Deeat Palace

samedi 3 février 2024, ateliers vortex,
in two : Emilie Soumba et Louis Simonnet

Imbrication parfaite. In Two chez Vortex, première soirée pour Souffle 2024. Pour débuter cette édition, voici un set mécanique en plein coeur de la friche industrielle dijonnaise tractée au premier étage des ateliers, dressée dans la ferraille parlante par Deeat Palace. Ce projet solo de Marion Camy-Palou poursuit son b(r)ut, la déconstruction et mise à plat des codes esthétiques. Là, en marge de son garage-free d’Officine et de la techno d’Oktober Lieber, Deeat Palace glisse vers une noise industrielle, fine scie, trait précis. Set sonore comme une balade dans cette manufacture phonique, frôlement de chaque poste de travail avec son tympan. Calibrage DJ-public, avec ce petit parfum d’urbex auditif. Dieu dans Officine, ici Créatrice dans son solo techno-indus’-libertaire, la bruxelloise pilote Deeat Palace avec son ingénierie des sons, sa science alchimistique de la disposition. Les bruits correspondent sans se contredire. Des barres de fer qui (ta)bassent, un soufflet sinusoïdale qui glisse dans les haut-parleurs. La symphonie mécanique élabore sa propre demeure, des fracas de coups venus des marteaux-piqueurs faits d’ondes basses. Avant cette pause au milieu, comme une plongée dans le liquide en fusion, volée de sons aquatiques. L’usine dévoile sa part d’humain avec un vrai souffle qui sort des HP, celui de la cheville ouvrière. Brève interruption couverte vite par le retour de la cadence infernale. Fin de journée, pointée, retombée. Concert et travail bien accomplis.

lucas le texier

deeat palace @ icilonde

The Golden Coasters

mardi 6 février 2024, la menuiserie,
In GC & image sonore de nola

Très bon et très malin. Et vice-et-versa. Dixie, New Orleans, Vieux Style, à voir selon votre religion, vos connaissance et/ou votre fainéantise. Les Golden Coasters ont le nom malin, mais pas seulement. Ils ont le son très bon aussi mais pas seulement. Jeu aussi précis et pointu qu’enjoué et fédérateur. À l’invitation de se frotter aux expériences et principes contemporains lancée par ici l’onde, les Golden choppent au passage Tuba Skinny et Terry Riley. La Nouvelle-Orléans et l’Amérique répétitive. Pas un souci, les Golden sont malins, on l’a dit. Il faut l’être pour avoir digérer le buskin’ du deep south américain, après l’avoir anatomiser, Lucas Le Texier, et moderniser, Armelle Verguet. S’il fallait définir un axe au travers de l’esprit collectif du groupe. Groupe de rue parfait, qui en tutoie l’esprit, jusqu’à soulever la grogne de quelques grassmatineurices du samedi. Pour Souffle, il revisitent le légendaire In C et se l’approprient sans rire. In GC sonne comme seuls les vieux modernes savent le faire. Idem pour Image Sonore de Nola, la pièce suivante où l’électroacoustique se confronte à l’impro brute. C’est joyeux, insolent et carrément primesautier. Une sorte de 21 Jump up Street faussement foutraque, réellement exigeant. Malin.

william badneighbour

deeat palace @ icilonde

Instabilités

Tristan Menez et Benjamin Le Baron
mardi 6 février 2024, un singe en hiver

Boom zoom Breizh. Deux hommes de l’Ouest, le compositeur et designer sonore Benjamin le Baron et l’artiste plasticien Tristan Menez à la croisée des chemins et des arts. Instabilités, expérience multisensorielle dont le principe est simple : de la peinture sonore futuriste, une correspondance entre les boucles électroniques et le tableau de fluides en mouvement. À l’écran, derrière, une caméra et ses images qui focussent sur ces influx mouvants. Références à son expo Pulse composée de matières hybrides, liquide-son-lumineuses, petites gouttelettes et paysages SF tournoient sur les boucles electro-pop. Instabilités, so what? Instabilités des formes provoquées par les mouvement de basse, qui viennent perturber volontairement le travail esthétique. Dans cet enchaînement de création hybride et de séquences, les formes évoquent la vie, des petites ovules électroniques. On écoute, coup d’oeil sur les réactions des autres, puis on observe les regards par le même écran. Constat d’un imaginaire commun pour ce qu’il y a d’humain dans la salle, comme si on venait écouter un conte numérique. Sensation de suivre le rêve éveillé des machines. Beau, bon, et pas du tout petit breton.

lucas le texier

deeat palace @ icilonde

De haut en bas, de bas en haut et latéralement

nina garcia
mercredi 7 février 2024, le consortium

Haut bas fragile. Ce pourrait être une réduction de la création menée par Nina Garcia, jouée au Consortium. Mais l’analogie au très bon film de Jacques Rivette, s’arrête au titre. Rien de la comédie pastel, pour De haut en bas, de bas en haut et latéralement, mais plus sûrement une mini-tragédie dark, binaire. Noire, blanche. Tout saute de l’une à l’autre teinte. Sans concession ni prolégomènes. Tout est à prendre à pleine face dans la matière brute livrée par les cinq artistes engagé.es. Flexion/tension/réflexion. Trilogie ou devise, résumé possible. D’abord ce silence, long, très long silence imposé, gardé et défendue radicalement comme une relique au mont de piété. Puis s’allume un kinétoscope un peu austère, à peine perturbé par la première frappe massive sur la peau du tom basse. De cet air martial pour le Temps présent naîssent les fracturations de l’espace, les déflagrations gigantesques, une forme de leçon de chose et de mœurs, vaguement retenue, un peu cryptée. Le quadrige de l’espace hérite des grandes heures des perfs plastiques, la conjonctions des éléments scéniques, des expérimentations arts des 90s. C’est deep dark dans le donjon. Maitrisé au possible, libre au probable, De haut en bas, de bas en haut et latéralement avance avec serpes et fracas. Au-delà de protocole, ou de process, pour chaque élément du grand tout, qui s’annule malheureusement aussitôt qu’il cesse d’être manipulé, il y une trajectoire commune, une façon de faire du commun, avec le monde autour pour témoin. Ce qui n’est pas rien, aujourd’hui, pour dire le vrai.

guillaume malvoisin

deeat palace @ icilonde

Anatomia

claudine simon
jeudi 8 février 2024, salle triangle, opéra

Toucher les cordes sensibles et au-delà. La pianiste et improvisatrice Claudine Simon est au chevet de son instrument pour Anatomia, concert-performance en forme de dissection et marqué par le deuil. Fini la chimère piano-électronique de Pianomachine ou avec le luthier high-tech Vivien Trelcat. Là, c’est un corps-à-corps acoustique, tendre, sensible, comme une étreinte prolongée. Premier acte comme une danse sur le plateau, Claudine Simon seule, sur les Funérailles de Franz Lizst. Ambiance d’au revoir sur un lit de mort, à mesure que les premières parties de l’instrument se séparent. La nature a horreur du vide, alors la pianiste comble ces premières séparations de gestes à bras-le-corps. Les pièces désassemblées se suspendent à de grands fils de cuivre, formant un cabinet de curiosités géant. On se prend au jeu d’observer ce piano qu’on démonte, cette tradition qu’on bouscule, tellement qu’on voit à peine la lumière se tamiser. Boum, deuxième acte. Pour nous embarquer dans les tripes pianistiques, Claudine Simon passe par les graves. Passage de l’impressionnisme au gargouillisme, toute la scénographie entre en jeu. La pendaison des claviers et des marteaux, la lumière sombre-orangée puis en clair-obscur. Le corps-à-corps se transforme alors en autopsie, le pianotage en frottements, en choc, en bruits. Ça sonne comme un voyage dans les entrailles. Suite logique, la table d’harmonie finit comme le reste à la verticale. Fin de parcours avec Lizst diffusé sur enceinte, elle collée à la table. Ayant fait jeu de tout bois.

lucas le texier

deeat palace @ icilonde

Synchronisations mouvantes

ensemble supernova
ven. 9 février 2024, salle triangle, opéra

Nouveauté pour nouveauté. Nouvelle salle pour l’Opéra Dijon, nouvel ensemble pour la région. SuperNova, a confirmé, dans la Salle Triangle de l’Auditorium, que la création musicale contemporaine soufflait sans peine dans la région. Synchronisations Mouvantes marque ici l’aboutissement d’un travail réalisé avec le compositeur Karl Naegelen, membre du collectif et label européen Umlaut, et commandé, il y a plus de deux ans, par ici l’onde pour le festival. Neufs musiciens et une récitante se partagent le plateau pour une exploration en quatre mouvements, composition quadripartite habituelle dans les usages symphoniques. À ces quatre mouvements, le petit ensemble de solistes impose sa typologie de musique de chambre. Mais l’écriture contemporaine ne trompe personne. Arythmies, dissonances et leurs contraires marquent les lignes des partitions des instruments. La voix, elle, scande et litanise, tel un dixième instrument-soliste et performatif, un corpus de textes lui aussi en quatre temps. Quatre temps, dont le chef est parfaitement absent. SuperNova reste libre et évite largement les trous noirs. La battue circule alors dans les rangs du collectif venu de Saône et Loire, avec une force d’interprétation issue de la responsabilité collégiale. La précision de l’ensemble, entre synchronisation et désynchronisation, est un alliage fin d’équilibre et de virtuosité. La combinaison ne délaisse pas pour autant les références lyriques ou romantiques. Synchronisations Mouvantes laisse le temps d’apprécier les temps de respirations et de repères harmoniques et Karl Naegelen convoque pour cela quelques anciens. Comme ces coups de grosse caisse initiant certaines reprises instrumentales et pouvant réanimer des passages de timbales de la Symphonie n°7 de Mahler. Ou les jeux de déplacements scéniques, les instruments mis hors-champs, idoine petite fanfare wagnérienne, et les questions-réponses rappelant les expérimentations de Charles Ives dans The Unanswered Question. Bingo, la répartie de SuperNova à l’éternelle question sans réponse est jolie. L’alliage de l’avisé et du privé. Sous le souffle contemporain impulsé par Synchronisations Mouvantes, l’alliage des élans symphoniques à leur pendant plus intime, les sonorités de chambre, viennent chercher parfaitement le public pluriel du festival.

selma namata

deeat palace @ icilonde

stéréo vulcani

collective fléchir le vide en avant
samedi 10 février 2024, le consortium, museum

Avis de tempête. Parfaite préambule en cette fin d’après-midi pluvieuse pour la seconde proposition du festival Souffle accueilli à bon port au Consortium, Stéréo Vulcani de la collective Fléchir le vide. Fumante et belle scénographie faite main, parallèle entre l’océan et ses grandeurs assez vite établie. Ici, ce sont les histoires de vie en flow et à flot, incarnées dans une hydre formée par le trio de scène, Jehanne Cretin-Maitenaz, Juliette Lamas et Juliette Damien. De ces récits, une créature protéiforme faite de chansons, de témoignages, d’apartés didactiques et de bruits surgit au fil de la performance. On plonge dans le grand bain de celles et ceux qui ont traversé les troubles psychiques et la schizophrénie. Avec ce petit parfum de poésie abstraite et sensible d’un disque de Mickey 3D. Le dénouement est au long cours. Qu’est-ce qui fait sens, entre eux, entre nous ? Un volcan sous-marin et son lichen qui forment l’écosystème des espèces dans les profondeurs de l’eau. L’explosion externe d’un cratère des abysses dans les profondeurs amène son lot de crevettes, de moules géantes et de vers de deux mètres ; l’implosion interne venue des troubles de la santé mentale laisse place à ce conte moderne qui part de l’après traumatisme pour nous raconter l’avant. Narration qui tangue entre deux eaux. Sans jamais perdre son cap.

lucas le texier

deeat palace @ icilonde

Pianoise

Emmanuel lalande
samedi 10 février 2024, la vapeur

On ne voit rien. On ne verra rien. Rien d’autre que les 6 pianos, alignés têtes-bêches dans l’espace merch de La Vapeur, et les 6 têtes de pianistes qui en dépassent. Aux tous premiers sons de piano bastringue, version saloon spaghetti, succèdent très vite les tensions, les vibrations asynchrones et l’inquiétude. Cette dernière poussée par l’accord particulier des instruments. Pianoise avance ainsi, dans une formation collectiviste, où aucune des cordes n’est accordée de la même façon. Plus que quart de ton, c’est microton, tonton. On ne verra rien d’autre de ces bancs d’usine sonore produisant, à l’emporte-pièce, staccato stakhano, ostinato obstinés et battement jamais battus. On ne verra rien d’autre et c’est là que Pianoise est un stratagème futé. Frustrer la vue, jouer sur la résistance pour déjouer la rupture des habitudes et des attentes, des musiciens comme des spectateurs. Il n’y a pas qu’une musique mais toutes les musiques, noise, pop, rock shoegaze, drone ambiant et un paquet d’autres qui sourd de cette bataille.
Lacan s’amuserait d’un « qui va piano, va sado », tant le piano a été maltraité sur les quelques jours du festival. Mistreated, la version britone serait plus juste. Piano mé-traité, donc, sans lapsus. Exploré dans ses marges les plus inattendues et inaudibles jusque-là. Après l’anatomie sensible et endeuillée de Claudine Simon, voici la diffraction, le bruit à chaque touche et la fin du tempéré. Piano martelé, piano décadré mais piano libéré.

guillaume malvoisin

deeat palace @ icilonde

Arc

julien desprez
samedi 10 février 2024, la vapeur

Dépouillé. Julien Desprez s’est fait dépouillé. Caleçon de bain, pour seul costume au titan du set d’Arc. Le reste est au sol, éclairé et rythmé par les mini-décharges des petits arc électriques : guitare démontée, micro lymphatique, claquettes, baskets et ce souvenir de la chanson d’ouverture. Entre-temps il y aura eu la transe, les déflagration sonores tirées du meilleur de l’expé actuelle, du plus velu du rock 70s et de toutes les tentatives récentes du guitariste. C’est fort, c’est très fort. Encore plus qu’Acapulco Redux, encore plus que Coco, encore plus tranchant que The Hatch, encore mieux qu’Abacaxi. Desprez décrivait ce dernier comme un cœur sucré recouvert d’une peau couverte d’épines. Arc, loin de l’ananas, fait plutôt dans la châtaigne. Fort en électricité et en sentiment, cette perf’ sonore déplace ses petites bobines incandescentes et sculpte l’espace pour le remplir de son brut. Habituel et, encore inédit. Arc pousse plus loin le motifs des claquettes sonores, des décharges soniques, de la science de l’espace, bref, du système Desprez. Et ce qui est magnifique, c’est que, plus qu’un best-of Julien, on atteint une forme d’autoportrait dépouillé, remis entre les mains de comparses aussi savant que sensibles, Nicolas Canot, par exemple. Il y a une tentative de don de soi, de la prise de risque, de la fusion de ce qu’on est dans ce qu’on fabrique. Sans emphase, ni surenchère. Parfaite mise à nu.

guillaume malvoisin

deeat palace @ icilonde

proscaenium

anne briset
dimanche 11 février 2024, salle triangle, opéra

Pour un dimanche matin, la contrebasse, deuxième instrument de la percussionniste, sonne comme un deuxième réveil. Anne Briset commence hors scène avec Le son de l’intérieur #2. Les oreilles s’ouvrent doucement. A 11h00, ça frotte et ça grince. Pas désagréable, comme pour ces levers, tôt le week-end, pour retrouver quelqu’un d’important sur le quai de la gare. L’ouïe est en action, les yeux peuvent s’ouvrir. Quelques pas en avant, un bon de cinquante ans en arrière : pièce de James Tenney de 1971. Having Never Written a Note for Percussion a dit l’américain. Pas mal écrit cependant, cette courte méditation pour TamTam. Pas les petits gâteaux, bienvenus à cette heure, mais l’instrument multi-harmonique. Le roulement commence, sur les bords de l’instrument, presque inaudible. Puis le son grossit et les harmoniques se rapprochent comme un train venu de loin. Technique de percussion impeccable, le roulement se poursuit sans interruption, jusqu’au decrescendo. Le train s’en va sans s’arrêter. Le quai reste vide. Anne Briset ne voie personne comme elle le chante dans Qui ? de Jean-Pierre Drouet. Rapprochement de ses deux alliés, timbales et contrebasse, en dialogue avec sa propre voix. Tensions et passions. Prenant le public à témoin, Anne Briset semble donner à voir et à entendre un bout de sa vie musicale intime de soliste. Des instruments graves, et grands, et une voix aiguë, fragile, se confrontent, se répondent, se font mal. Puis Anne se fait la malle, se retrouve seule avec les timbales. C’est Traces XVIII, de Martin Matalon, qui invite l’électronique, pièce aux vertus cathartiques. La frappe sur les peaux est fine, précise et puissance. Les changements de baguettes, de mailloches, les notes réglées à la pédale et la parfaite dextérité laissent entendre le parcours classique de la musicienne. Dans la salle de l’auditorium passe un Jacques Delécluse, les exercices de styles, les exams de Conservatoire. Mais l’oeuvre contemporaine échappe à ce cercle restreint et inverse les rapports de fragilité. L’acoustique sonne puissante face aux variations synthétisées, plus vulnérables. Tout juste adoucies par les jus de fruit frais du dimanche matin.

selma namata

deeat palace @ icilonde

Marion Camy-Palou

The Golden Coasters

Claudine Simon

Karl Naegelen

Emmanuel Lalande

Julien Desprez

Anne Briset

l’équipe d’ici l’onde

les partenaires

le glossaire

l’avis du public

les questions pop-up

les podcasts du festival

Marion Camy-Palou

DEEAT PALACE, 3.02, ateliers vortex

« Parfois, les choses s’enchainent bien, parce qu’on a la bonne intuition concernant ce qui doit suivre. Parfois, ça donne des choses brutales. Tout dépend de l’intuition et de la concentration. »

Armelle Verguet

The Golden Coasters, 7.02, la menuiserie

« In C tient sur la pulse. Avec le groupe, c’est marrant on eu moins de problème que le musiciens à la création de la pièce de Riley. La complicité, le swing et la washboard nous ont permis d’éviter le métronome pour rester ensemble. »

Claudine Simon

anatomia, 8.02, opéra dijon

« Le piano n’évolue plus, alors je le démonte. Mais je lui rend hommage aussi, à toute son histoire, à son répertoire. Car, je viens de là. »

Karl Nægelen

synchronisations mouvantes, 9.02, opéra dijon

« Il y a des moments où un musicien ou une musicienne va se retrouver chef.fe pendant une minute, le tempo et les idées changent souvent, aussi. On peut voir cette circulation dans ce groupe, en même temps qu’on prend plaisir à la musique. »

Emmanuel Lalande

pianoise, 10.02, la vapeur

« À aucun moment, on entend le son du piano comme on a l’habitude de l’entendre. Cepend tout reste purement acoustique. Il n’y a dans Pianioise, aucun traitement électronique. »

Julien Desprez

arc, 10.02, la vapeur

« Chaque espace a sa propre puissance sans empiéter sur celle des autres. C’et important pour moi. J’ai réduit au maximum tous les éléments des spectacles précédents et là, avec Arc, je suis arrivé à l’essentiel.. »

Anne Briset

proscaenium, 11.02, la vapeur

« J’ai la contrebasse avec moi et deux timbales de chaque côté. J’ai donc à exécuter des mouvements peu habituels, peu communs. La pièce de Jean-Pierre Drouet joue avec ces mouvements contradictoires et ces jeux de regards. »

l’équipe d’io

festival souffle, 3 au 11.02, Dijon

les partenaires du festival

festival souffle, 3 au 11.02, Dijon

le glossaire du festival

par lucas le texier

la pop et l’avis du public

par aurélien moulinet

Les photos du festival

deeat palace @ icilonde
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Deeat palace

samedi 3 février 2024, ateliers vortex

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The Golden Coasters

mardi 6 février 2024, la menuiserie

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Instabilités

mardi 6 février 2024, un singe en hiver

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De Haut en bas, de haut en bas et latéralement

mercredi 7 février 2024, le consortium

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Anatomia

jeudi 8 février 2024, salle triangle, opéra

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SuperNova

9 février 2024, salle triangle, opéra

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Stéréo vulcani

10 février 2024, le consortium, museum

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pianoise

10 février 2024, la vapeur

photos © ici l’onde & philippe malet, la vapeur

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arc

10 février 2024, la vapeur

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proscænium

11 février 2024, salle triangle, opéra

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