ELECTRIC VOCUHILA, Palaces
sortie en mars 2020 chez Capsul Collectif
ENGLISH
That’s enough to make the Negresco palace look like a fish’n’ships’ shack. The Electric Vocuhila’s Palaces is less about post-colonial architecture and more about the multiple, and therefore elusive, buildings. And it’s beautiful. Fourth album of the quartet, friendly successor of Kombino Splinto, Palaces is less energetic, certainly, but largely as effective in its aims. If not more so. It brings to you the trance to the pelvis (ô the pretty basses of the eponymous track), the sparkling eyes (Coquetty, Tsatsaka). Tsapiky always, Sebene the continuation. Pushing further a kind of quiet rage, burning to split your plexus right away.
Voilà de quoi faire passer le Negresco pour une cabane à fricadelles. Les Palaces version Electric Vocuhila tapent moins dans l’architecture post-coloniale que dans le bâti multiple, donc insaisissable. Et c’est beau. Quatrième galette du quartet, successeur amical de Kombino Splinto, Palaces est moins énervé, certes, mais largement aussi efficace dans ses visées. Si ce n’est plus encore. Ça vous colle la transe au bassin (les jolies basses du track éponyme), des étincelles aux yeux (Coquetty, Tsatsaka). Tsapiky toujours, Sebene la suite. En poussant plus loin une sorte de rage tranquille, ardente à vous fendre le plexus.