Aloïse Sauvage
La Vapeur, Dijon,
jeudi 17 novembre 2022.
C’est cliché mais, putain : qui peut la test ? Aloïse Sauvage débarque dans le club de La Vapeur, monte sur scène et, dès le premier son, met tout le monde d’accord. Ce sera lourd. Presque. Deuxième son, mince : problème d’oreillettes. Ça dure 5 bonnes min mais elle meuble, tout naturellement en parlant normal-chill avec les gens de la fosse. On pourrait croire qu’elle a fait ça toute sa vie. Problème de monitors résolu, elle enchaine. Titre après titre, la salle chante, scande, hurle ses paroles. S’en suit une petite pause de 3 titres en piano-voix pour faire descendre la pression. Même sur ce tabouret, Aloïse ne tient pas en place. Sauvage, quoi. Le public aussi, son énergie est communicative. C’est les montagnes russes, on ne sait plus où donner de la tête. Elle continue son show électrique, danse, chante, et ne s’arrête plus. Sa voix transperce la salle. La fin approche. Elle dit au revoir et les Dijonnais lui offrent un ban bourguignon ? Elle en fait un remix avec batteur et clavier. Qui fait ça ? Une bête de scène. Aloïse Sauvage.
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Florentine Colliat
photos : front © DR
scène © Floriane Zambaux / La Vapeur
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