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Jeanne Lee, grave libre.
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Jeanne Lee, grave libre.
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Jeanne Lee, grave libre.
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Dans l’héritage du jazz, il y a deux types de types. Et c’est encore plus vrai quand ces types sont des femmes. Et des chanteuses de surcroît. Il y a celles qui nagent dans la mélodie, plongent dans la joliesse et lavent à grandes eaux leurs élans et retenues. Et puis il y a les autres. Celles qui piochent. Celles qui tapent dur dans la mélodie pour en sortir du théâtre vocal, du gris par nuances entières, celles qui cherchent d’abord à vous vriller l’intestin avant de cajoler votre oreille. Parmi celles-ci, il y a, bien entendu, Billy Holliday. Mais aussi, sa cadette de 8 ans, Carmen McRae. Pas moins terrible quand il s’agit de vous jeter votre humanité au visage, pas moins intelligente quand il faut vous allumer les hanches
de mélancolie aguicheuse.
Efficace, radicale.
Carmen McRae est américaine et elle naît en avril 1920. 1920 aux States, c’est l’époque où être une femme noire, faite de de jazz annonce forcément quelques combats à venir. Ce sont sans doute ces batailles annoncées qui ont forgé sa maîtrise du phrasé à contretemps, sa science des graves, chauds comme un regard de Gorgone. Ce sont sans doute aussi ces batailles obligées qui ont marqué sa voix et ses interprétations d’une ironie lucide. Au sommet dans ses interprétations de ballades. Comme Billie, Carmen ne fait pas dans la complainte, mais vient vous chercher et, avec vous, cette prise de responsabilité qui vous rappelle que le jazz, c’est certes parfois joli, mais que c’est surtout dangereux, et donc, souvent aussi agréable.
Côté bio, Carmen McRae nait en donc 1920, apprend le piano, s’installe à Brooklyn, inscrit à chaque concert une chanson de Billie Holliday puis, après avoir éternellement refusé d’arrêter de fumer meurt de complications respiratoires en 1994. Entre temps, elle aura chanté en compagnie de de quelques mâles jazz connus de tous comme Benny Carter, Count Basie, Sammy Davis Jr. et Louis Armstrong. Dave Brubeck, aussi dont elle rénove, deux après sa création, et d’un coup de talon délicieux le Take 5. L’homme Brubeck a propulsé son morceau dans les charts, la femme McRae l’a balancé dans les étoiles. Chacun sa cible.
Pourtant, chez Carmen McRae, la cheminée ne porte ni Grammy Award, ni Disque d’Or. Ella Fitzgerald et Sarah Vaughan avaient déjà tout rafflé. Mais sa discographie ne connait aucun faux pas. McRae avale jazz, groove, et soul avec la classe d’un gosier à toute épreuve. La sélection, strictement subjective, des 7 titres ci-dessous devraient suffire à vous convaincre.
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Dans l’héritage du jazz, il y a deux types de types. Sans doute même un peu plus quand ces types sont des femmes. Et des musiciennes et chanteuses de surcroit. Il y a celles qui polissent les normes, se plient bon gré mal gré à la place qu’on leur laisse, rendues muettes mais jolies. Et puis il y a les autres. Celles qui cherchent. La bagarre, la sortie, des autres voies possibles. Celles qui percent des trous dans l’inconnu. Celles qui remettent en cause le genre en vogue, l’harmonie en vigueur pour livrer des brûlots politiques, du poème incandescent, du blackbeautiful à la sensualité lucide et suffisamment puissante pour mettre en question la moindre de vos certitudes. Parmi celles-ci, il y a, bien entendu, Nina Simone. Mais aussi, sa cadette de 6 ans, Jeanne Lee. Pas moins splendide quand il s’agit de vous chauffer avec des graves bouleversants, pas moins clairvoyante quand il faut vous bousculer les épaules et vous faire lever le poing. Limite, libre et bienfaitrice.
Jeanne Lee est afro-américaine et elle naît à New York en janvier 1939. 1939 aux States, c’est l’époque où être une femme noire, faite de jazz annonce forcément quelques prises de position. De quoi se faire entendre, ou du moins, de quoi dire. Et dire, Jeanne Lee s’y entend. Elle a cela en commun avec Carmen McRae. Mais avec une verve encore plus explicite. Les mots scandent et claquent sous sa langue. Ses graves s’allongent comme s’allongerait le plaisir mené par des amants passionnés. Mais prendre position, c’est aussi étourdir. Jeanne Lee a d’abord été une danseuse. Et son chant s’en souvient très souvent. Ses prises de position sont des corps à corps. De la musique d’action. Dans ses relectures de standards mais aussi dans ses improvisations les plus redoutables. Comme Nina, Jeanne ne s’en laisse pas conter mais vous balance sur des terres d’étrangetés qui vous rappelle que le jazz, c’est certes parfois joli, mais que c’est surtout très risqué, et donc, parfaitement désirable.
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Dans l’héritage du jazz, il y a deux types de types. Et c’est encore plus vrai quand ces types sont des femmes. Et des chanteuses de surcroît. Il y a celles qui nagent dans la mélodie, plongent dans la joliesse et lavent à grandes eaux leurs élans et retenues. Et puis il y a les autres. Celles qui piochent. Celles qui tapent dur dans la mélodie pour en sortir du théâtre vocal, du gris par nuances entières, celles qui cherchent d’abord à vous vriller l’intestin avant de cajoler votre oreille. Parmi celles-ci, il y a, bien entendu, Billy Holliday. Mais aussi, sa cadette de 8 ans, Carmen McRae. Pas moins terrible quand il s’agit de vous jeter votre humanité au visage, pas moins intelligente quand il faut vous allumer les hanches
de mélancolie aguicheuse.
Efficace, radicale.
Carmen McRae est américaine et elle naît en avril 1920. 1920 aux States, c’est l’époque où être une femme noire, faite de de jazz annonce forcément quelques combats à venir. Ce sont sans doute ces batailles annoncées qui ont forgé sa maîtrise du phrasé à contretemps, sa science des graves, chauds comme un regard de Gorgone. Ce sont sans doute aussi ces batailles obligées qui ont marqué sa voix et ses interprétations d’une ironie lucide. Au sommet dans ses interprétations de ballades. Comme Billie, Carmen ne fait pas dans la complainte, mais vient vous chercher et, avec vous, cette prise de responsabilité qui vous rappelle que le jazz, c’est certes parfois joli, mais que c’est surtout dangereux, et donc, souvent aussi agréable.
Côté bio, Carmen McRae nait en donc 1920, apprend le piano, s’installe à Brooklyn, inscrit à chaque concert une chanson de Billie Holliday puis, après avoir éternellement refusé d’arrêter de fumer meurt de complications respiratoires en 1994. Entre temps, elle aura chanté en compagnie de de quelques mâles jazz connus de tous comme Benny Carter, Count Basie, Sammy Davis Jr. et Louis Armstrong. Dave Brubeck, aussi dont elle rénove, deux après sa création, et d’un coup de talon délicieux le Take 5. L’homme Brubeck a propulsé son morceau dans les charts, la femme McRae l’a balancé dans les étoiles. Chacun sa cible.
Pourtant, chez Carmen McRae, la cheminée ne porte ni Grammy Award, ni Disque d’Or. Ella Fitzgerald et Sarah Vaughan avaient déjà tout rafflé. Mais sa discographie ne connait aucun faux pas. McRae avale jazz, groove, et soul avec la classe d’un gosier à toute épreuve. La sélection, strictement subjective, des 7 titres ci-dessous devraient suffire à vous convaincre.
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Côté bio, Jeanne Lee nait donc 1939, apprend la danse et le piano, chante comme bon lui semble, écrit des poèmes militants en noir brillant puis, après succombe trop vite à un cancer sous le soleil de Tijuana en 2000. Entre temps, elle aura rénover durablement l’exercice du piano/voix en compagnie de ce diable de génie qu’est Ran Blake. Elle aura fréquenté une paire de patronymes furieux tels que Archie Shepp, Marion Brown et Dave Holland, aura participer à l’œuvre maitresse d’une autre génie, Carla Bley et aura eu le temps de se marier avec Gunther Hampel. Hampel dont elle anime le groupe de sa seule voix face aux assauts zinzins de braconniers Free Jazz comme Willem Breuker ou Anthony Braxton. Pas bégueule, la dame scatte comme une Queen et renvoie, avec une humeur égale, les Beatles réapprendre leur table de multiplication. Chacun ses théorèmes.
Chez Jeanne Lee, la déco est du genre dépouillée. Tout tient dans le jardin extérieur. Luxuriant, inventif et balancé doucettement par un petit zef aussi inlassable que maternant. Sa discographie se balade entre Amérique et Europe, ne connait aucun faux pas sauf celui de s’être arrêté trop tôt. Madame Lee avale free jazz, tube pop et impros sévères avec la classe des gens modestes. Planqués dans la pénombre mais prompt à vous tirer les larmes des yeux. La sélection, strictement subjective, des 6 titres sur cette page devrait suffire, au besoin, à vous en convaincre.
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Guillaume Malvoisin
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Sont passées dans nos colonnes :
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Aretha Franklin
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Carmen McRae
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Billie Holiday
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