ALDORANDE, deux
sortie le 19 novembre 2021 chez Favorite Recordings
ENGLISH
Dark side or Light side? Aldorande does not choose but plays with it. Mixture of classic-classical and jazz-funk of the seventies. This ramble between the two gives the feeling of being in a parallel universe. On an exoplanet, even. Its name? Aldorande, precisely. Simple. Efficient. The first album set the scene for the eponymous project. An immersion in a world that does not belong to the solar system. Where gravity is no more. Where imagination has no limit. Deux is the logical continuation of the intergalactic ascension of the quartet of Jedis headhunters. Virgile Raffaëlli, as captain, holds an interstellar bass. Florian Pellissier, on a port of call from Rio to Anthony Joseph’s London, has the nebulous keyboard, Mathieu Edouard, the cosmic drums. As for Erwan Loeffel, he pilots his intergalactic percussions. Fluid. First stop at the heart of the Vortex des Possibles. Swirls of grooves, spirals of funk entrusted to the keyboards. The guitar of Laurent Guillet establishes a certain gravity, the percussions bring the solar soul, in a latin-stellar way. Same hot atmosphere in the second stop with Arcane 17. This time it’s mysterious and intoxicating. The backing vocals, perfectly hummed all along the record, let float their mist. Third stop with Prometheus Asylum. Groove always, illuminated. Clear side, indeed.
Dark side or Light side ? Aldorande ne choisit pas mais joue avec. Mélange de classico-classique et de jazz-funk des seventies. Cette balade entre les deux donne la sensation d’être dans un univers parallèle. Sur une exoplanète, même. Son nom ? Aldorande, justement. Simple. Efficace. Le premier album posait le décor du projet éponyme. Une immersion dans un monde qui n’appartient pas au système solaire. Où la gravité n’est plus. Où l’imagination n’a donc pas de limite. Deux est la suite logique de l’ascension intergalactique du quartet de Jedis headhunters. Virgile Raffaëlli, en capitaine, tient une basse interstellaire. Florian Pellissier, en escale de Rio et du Londres d’Anthony Joseph, a le keyboard nébuleux, Mathieu Edouard, la batterie cosmique. Erwan Loeffel pilote, quant à lui, ses percussions intergalactiques. Fluide. Premier arrêt au cœur du Vortex des Possibles. Tourbillons de grooves, spirales de funk confiées aux claviers. La guitare de Laurent Guillet installe une certaine gravité, les percussions apportent l’âme solaire, façon latino-stellaire. Same ambiance chaude dans le deuxième arrêt avec Arcane 17. Cette fois c’est mystérieux et enivrant. Les backing vocals, fredonnées parfaitement tout au long du disque, laissent flotter leur brume. Troisième arrêt avec Prometheus Asylum. Groove toujours, illuminé. Clear side, indeed.
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Aldorande : Bandcamp
Favorite Recordings : site internet
